Histoire de notre Eglise.

Citation :

A la naissance du Monde, la terre voyait naitre les Etres Divins.
Ces Etres étaient fougueux, irascibles, rapides et avides. Leur vie était éternelle et pour se distraire, ils construisaient de belles cités aux beautés étincelantes, aux joyaux luxuriants. Ils avaient tout pouvoir sur l'environnement.
Seulement, voilà, les êtres divins se lassèrent vite, voulant toujours plus de distraction. Leurs villes étaient désespérément vides. Malgré tous les dons que leur avait accordé leur existence, ils ne trouvaient pas de quoi combler leur manque. C'est alors que l'un d'entre eux se mit à modeler dans l'argile une forme, puis une autre. Intrigués, les autres Etres Divins commencèrent à faire de même. Puis insufflèrent la vie à ces poupées. Ainsi les Hommes naquirent au milieu du monde des Etres Divins. Très vite, les poupées commencèrent à avoir faim, soif, puis à développer toute leur intelligence jusqu’alors inconnue des Divins. Ceux-ci, amusés par leur invention, créèrent les animaux, les insectes, tout ce qui pouvait servir à leurs jouets.
L'Homme s'habilla, mangea, éleva et chassa sous le regard émerveillé des Etres Divins. L'esprit des poupées montraient de plus en plus d'évolution et de découvertes.

Mais les Etres Divins, toujours vite lassés par leurs compositions, trouvèrent que ces poupées ne donnaient pas assez de distraction. Ils créèrent les conflits, les guerres, la méchanceté, l'envie, l'orgueil.
Et c’est d'un œil amusé que les Etres Divins voyaient leurs créations se détruire. C'est alors qu'un des êtres Divins du nom de Tybald, dont la sagesse était sans égal et qui se tenait à l'écart des jeux de ses congénères, en eut assez de ces jeux.
Il concentra son énergie afin de protéger les Humains.
Les Etres Divins, furieux, se divisèrent entre eux, formant des clans. Les énergies se dispersèrent. Tybald dont la maîtrise de l'énergie primaire était des plus anciennes, rassembla ses dernières forces afin de fusionner les énergies, tout en les divisant afin qu'elles ne se complètent et non qu'elles luttent entre elles.

Naquis alors Fuega, l'Etre Divin du Feu. Sa fougue et son tempérament insuffle courage et persévérance dans le cœur des Hommes. Ainsi que Terra, l'Etre Divin de la Terre. Sa beauté et son cœur emplit d'amour le cœur des Hommes. Ensuite vint Hydra, l'Etre Divin de l'Eau. Sa fluidité, sa dextérité coule dans le sang des Hommes. Et enfin, Aéra, l'Etre Divin de l'Air. Sa curiosité et sa Joie fait sourire le cœur des Hommes.

Tybald, épuisé des dons faits aux Hommes, s'évapora pour ainsi veillé à tout jamais sur l'Ame Humaine.
Les Etres Divins devinrent les Dieux auprès de qui les Humains devraient prier et retrouver la Lumière et la vrai Spiritualité, celle qui est ancrée dans l’esprit et le cœur des Hommes.

Vos avis ? Votre développement ? Vos idées ?

Avant dernière phrase, il y a une petite erreur sur le nom du prophète : Tybald

corrigée

La faute, c'est parce que Tybald était épuisé ...

Bon moi je vous écris mon histoire parce que celle d'avant me rappelle trop quelque chose existant déjà dans une religion :

Citation :

Chapitre I, Le commencement :

Il y a longtemps...très longtemps, lorsque le monde n'en était qu'à son commencement, la vie n'existait pas. Tout était noir et vide, sombre et inquiétant. C'est alors que deux êtres naquirent soudainement, leur naissance dégagea une telle force que tout l'univers en fut éclairé d'un rai blanc. Ces deux êtres s'opposaient chacun l'un de l'autre, le premier Néant souhaitaient faire perdurer un monde vide et inquiétant, lugubre et mort. Le deuxième Vie, voulait peupler l'univers de planètes sur lesquelles fleuriraient la vie et le bonheur.

Tout deux s'affrontèrent, Néant gagna. Vie fut réduit à l'état de poussière. Pendant des millénaires, le monde continua à être vide de tout.

Néant qui régnait sur ce monde, se désespérait tout de même d'être seul, il se mutila alors d'une partie de lui-même pour se créer un serviteur. Le serviteur avait de grand pouvoir donné par Néant lui-même, tout deux discutaient souvent, ils s'aimaient beaucoup.

Mais un jour alors que le serviteur flottait tranquillement dans une partie de l'univers, une voix lui parla :

- Ô toi noble serviteur, oserais-tu défier ton maître pour donner un peu de vie à cet univers ?
Le serviteur se sentait étrangement observé, il répondit :
- Ô toi, voix venu de nulle part, sache que mon maître je ne le trahirais jamais.
La voix dit alors :
- Sais-tu que ton maître lui ne se gênerait point pour te trahir, de toute façon, je n'ai qu'un service à te demander, oserais-tu voler à ton maître quelque chose et me le ramener ?
Le serviteur était indigné par la demande :
- Pardon ? Sache que je ne volerais jamais mon maître !
La voix, toujours avec calme, répondit :
- Sache ô noble et magnifique serviteur que je me suis trompé dans mes dires, il te suffira juste d'emprunter une chose à ton maître puis de me la prêter, je te la rendrais après, ton maître ne se rendra compte de rien. Ô toi dont l'intelligence et la force dépasse tout serais-tu prêt à accomplir cela.
Le serviteur qui était un peu naïf se calma aux douces paroles de la voix :
- Hmm si ce que tu dis est vrai alors je ne vois pas pourquoi cela poserais problème, j'accepte.
La voix répondit :
- Très bien, prends la clef de cristal que ton maître garde toujours dans un coffre puis rapporte-la moi.
Puis la voix disparut comme elle était apparu.

Le serviteur retourna auprès de son maître et continua à lui parler comme si de rien n'était. Mais un soir alors que Néant était parti faire une ballade, le serviteur tout honteux de ce qu'il allait faire, prit la clef dans le coffre du maître et s'envola vers la voix...
- Ô voix, sache que je t'ai rapporté ce que tu m'avais demandé.
Il n'y eu pas de réponse, juste du vide et du silence. Le serviteur sortit la clef de cristal et l'examina, aussitôt celle-ci se mit à trembloter. Le serviteur horrifié lâcha la clef dans le vide, plusieurs évènements se produirent alors : un énorme cri rageur, celui de Néant se fit entendre à l'autre bout de l'univers, le vacarme était telle que le serviteur en devint sourd. Un rayon de lumière apparut à la place de la clef, le serviteur en devint aveugle car il n'avait jamais vu la lumière. Puis une explosion retentit, la lumière qui s'était jusque là condensée autour de la clef partit en tout sens dans l'univers, le cri de Néant n'en fut que plus retentissant.
Soudain, une silhouette apparut, semblant sortir de la clef, elle était faîtes entièrement de lumière :
- Merci, dit celle-ci au serviteur, comme tu as été bon avec moi, je te redonne la possibilité de voir et d'entendre.
Le serviteur retrouva soudain ses sens et cri lorsqu'il vit son maître voler vers lui et la silhouette à toute vitesse, un éclair surgit de sa main, s'apprêtant à rayer de l'univers le serviteur mais la silhouette s'interposa et sembla absorber l'éclair sans mal.

Le combat reprit alors entre Vie et Néant, le serviteur toujours autant atterré regardait la bataille, ne sachant qui aider.

Voilà la suite :

Citation :

Chapitre 2, les Dieux :

Néant et Vie se battirent pendant des siècles et des siècles, sans relâche, sans repos. Au final, ceux-ci décidèrent d'une trêve. Néant se mit à la recherche de son serviteur pour se venger et Vie se reposa.

Mais un jour Vie eu une idée, pourquoi ne pas se créer des serviteurs lui aussi ? Il en créa donc quatre à qui il insuffla et partagea ses pouvoirs, le premier maîtriser le feu, le second le vent, le troisième l'eau, le dernier la terre.

Loin de là, le serviteur volait le plus vite possible priant pour que Néant ne le rattrape pas, en effet celui-ci l'avait enfin découvert et il le pourchassait depuis déjà quatre années. Le serviteur s'effondra, épuisé, son ancien maître ne mit que peu de temps à le rejoindre, Néant dit :
- À toi, mon mauvais esclave, je destine la mort et le vide, fais ton dernier souhait !
Le serviteur répondit :
- J'aimerais que Vie puisse détruire votre univers et instaurer le si...
Il n'eut pas le temps de finir, Néant l'avait tué, ne respectant pas les dernières paroles.

Néant qui s'était maintenant occupé de son serviteur, reprit le chemin vers Vie pour en finir. Sur la route il rencontra des êtres étranges, semblable à son serviteur mais fait de lumière, Néant leur demanda :
- Mais qui êtes-vous donc ?
Les êtres lui répondirent :
- Tes ennemis !
Puis Néant fut attaqué, il résista un premiers temps, mais les pouvoirs de ces êtres étaient variés et puissant, devant tant de force, il faiblit puis tomba.

Bien plus tard Néant se réveilla, il était fermement maintenu par les quatre êtres, en face de lui se tenait Vie :
- Ô toi Néant, mon ennemi, je te salue, lui dit Vie.
Néant répondit agressif :
- Tu as gagné, tue-moi dès à présent, je n'en puis plus.
Vie lui dit :
- Je ne me rendrais pas coupable de crimes, non tu seras enfermé, à jamais.
Néant soupira, se rendant compte que cette punition serait horrible pour lui qui n'aimait pas la solitude.

Après que la sentence fut prononcé, Néant disparut pour se retrouver dans une petite boîte que tenait Vie. Vie ordonna alors à ses serviteurs :
- Allez, nous avons du travail, vous avoir créer m'a fatigué, je me meurs, empressons-nous de réparer ce monde.
Puis les serviteurs que nous appellerons désormais Dieu, se mirent au travail.

Ah ? Ben c'est moi qui l'avait écrit ... et c'est sorti tout droit de mon imagination ..

Citation :

Chapitre 3, la création des mondes :

Les Dieux avançaient vite dans leur travail, très vite, l'ébauche d'une planète fut dessiné. Vie l'avait approuvé et les Dieux commencèrent à la fabriquer. La planète était ronde, de grande taille bien qu'elle ne soit rien par rapport à Vie et les Dieux.

En quelques millénaires, la planète fut créer, Vie en était heureuse, elle réunit alors ses Dieux et ils tinrent un conseil. Après avoir longtemps délibéré, ils se départagèrent les rôles qu'ils tiendrait sur la planète.
Fuego, le Dieu du feu, créa la flamme sur la planète. Hydra Déesse de l'eau, créa les océans, les mers, les lacs et les rivières. Aera Dieu du vent, créa les vents, les tempêtes, les cyclones, les ouragans. Terra Déesse de la terre, créa les montagnes, la terre ferme, les continents, la roche.

Longtemps, Vie et ses serviteurs regardèrent cette pure création, ils avaient créer la première planète. Vie s'installa non loin de celle-ci, la réchauffant de son corps. Les Dieux désirant faire encore mieux créèrent bien d'autre planètes mais aucune ne fut aussi bien réussi que la première, ils les laissèrent donc seules, abandonnées comme de vieux jouets cassés.

Les Dieux élurent domicile sur la planète qui d'un commun accord nommèrent Terre, car la Déesse Terra en avait créer la majeure partie.

Un peu trop manichéiste le combat entre Néant et Vie non ?

Ha ben zut, il faut bien commencer par quelque part non ? Ne sombrons pas dans le bisounourtisme.

Citation :

Chapitre 4, la prison de Néant :

Vie se sentait de plus en plus faible, elle en fit par à ses Dieux, ceux-ci lui conseillèrent de se retirer quelque temps, pour prendre du repos. Vie accepta mais elle devait accomplir auparavant une dernière chose.

Vie fabriqua d'elle-même une planète, cette planète était déserte et lugubre. Elle était plus petite que la Terre et bien moins glorieuse. Après avoir finit et contente de son résultat, Vie sortit la boîte qui contenait Néant. Avec délicatesse, elle en sortit le sombre être et l'enferma à l'intérieur de cette planète, sûre qu'à cet endroit, Néant ne causerait plus aucun problème, puis Vie envoya la planète au fin fond de l'univers.

Néant se réveilla enfin, il se trouvait dans un endroit étrange, il y avait trop de lumière pour lui, bien que Vie avait essayé de créer un endroit sombre. Néant se leva et regarda autour de lui, il était dans un espace clos, qui semblait être une sphère. Au dessus de lui, il y avait une immense voute, faîtes d'une étrange matière dure et grise. Partout autour de lui il y avait désolation, le sol était à certains endroits gris, à d'autres rouge. Néant se mit en marche et découvrit quelque temps plus tard un lac, celui-ci était rempli d'eau verdâtre et inquiétante, bien sûr Néant ne savait pas ce qu'était l'eau, il fut donc surpris de pouvoir passer sa main à travers la surface.

Néant était désespéré, il souffrait dans cette prison. Il poussa un cri, puis s'assit sur un immense amas de pierre grise qui était en fait une montagne. De cet endroit il pouvait voir tout ce qui se passait dans sa prison, il tailla un siège dedans et s'y assit puis il sombra dans la tristesse, regrettant son ancien monde.

Citation :

Chapitre 5, la vie apparait :

Vie s'était désormais retirée, laissant les pleins pouvoirs et la gérance de Terre à ses Dieux, ceux-ci s'en occupèrent pendant des millénaires et des millénaires lorsqu'un jour Hydra posa une question à ses confrères :
- Mes frères et ma sœur, ne trouvait vous pas étrange que mon eau inonde et nourrisse Terre alors que celle-ci ne possède rien qui ne puisse être nourris ?
Terra qui fut en accord avec le point de vue d'Hydra renchérit :
- Et ne trouvez-vous pas bizarre que mes continents, mes montagnes soit immobile et désert, sans rien qui ne bouge ou court dessus.
Aera répondit :
- Je te signale ma sœur que mes courant aériens les animent, et font bouger la mer et les océans aussi.
Terra répondit à son tour :
- Peut-être mais je voulais parler de choses qui respire, qui court, qui ont une faculté à penser.
Les Dieux furent horrifiés à ces paroles :
- Tu veux dire des êtres comme nous, demanda Fuego.
Terra leva les yeux vers Vie qui dormait et que l'on pouvait voir de Terre :
- Mais non, ils n'auraient pas de pouvoir et n'auraient qu'une intelligence bien inférieur à nous.
Hydra sourit :
- Ces êtres pourraient se nourrir de mon eau ?
Fuego, qui commençait enfin à comprendre l'idée dit :
- Ou encore qui auraient besoin de feu pour ne pas mourir...
Aera coupa la parole à Fuego :
- ...De mon vent qui les rendrait froid et faible.

Les Dieux départagèrent ainsi longtemps leur idées. Au final, Terra fut chargé de créer les plantes avec Hydra tandis que Fuego et Aera créaient des animaux qui auraient besoin de feu pour survivre mais aussi de vent pour voler.
Ainsi furent créer les arbres, les oiseaux, les loups, les renards, les fleurs, les chevaux....

Citation :

Chapitre 6, la création des Hommes :

Les Dieux regardèrent pendant des centaines d'années la vie qu'ils avaient créer sur terre avec joie. En effet, leur création étaient de pures merveille. Elles n'avaient pas besoin d'assistance, avait même établie d'elles-même une chaîne alimentaire.

Cependant les Dieux n'étaient pas encore tout à fait satisfait, il manquait quelque chose mais quoi :

- Ne pensez-vous pas que l'on devrais créer des êtres supérieurs, demanda Fuego ?
Aera proposa :
- Oui pourquoi pas ? Des êtres qui seraient supérieurs à toutes nos créations jusque là faîtes ?
Terra suspicieuse dit :
- Il ne faut pas leur donner de pouvoirs tout de même, ils devraient avoir des faiblesses.
Hydra dit :
- Donnons-leur une grande intelligence alors, et une grande capacité à s'adapter aux situations, par exemple la création devrait autant être capable de marcher sur la terre que de nager dans mon eau.
Fuego ajouta :
- Mais en faiblesse, il faudrait qu'ils aient très peu de sens, ou alors peu développer.

Tout les Dieux approuvèrent, ils firent une esquisse de cette création et décidèrent de la nommer : Tréliens. Ils le firent tous ensemble : Fuego insuffla courage et force à la création, Hydra bonté et intelligence, Aera rapidité et esprit, Terra créativité et faculté d'adaptation.
Quelques jours plus tard, les Tréliens apparaissaient, fait d'eau, de feu, de vent et de terre. Ils firent régner l'ordre danns le monde animal et se développèrent.

Fin du 1er livre : [titre à déterminer]

Je vous écrit bientôt le 2ème livre où là l'histoire des humains commencera, et donc de la religion Tybaldste .

Ok , ne vous inquiétez pas, Tybald arrive.

(Vous pouvez modifier certaines choses aussi, si vous voulez).